Quand l'optimisme est le meilleur ennemi de la prudence...
Les dernières paroles de vaillants aventuriers au destin fauché par des dés parfois trop cruels :
« Mais réfléchissez, ce pont est forcément solide sinon ils l'auraient pas construit ici»
« Bon, si aucun de vous n'a toussé, alors qui l'a fait ? »
« Je vais pas tomber. Je veux juste voir ce qu'il y a en bas. »
« Cette eau a vraiment un drôle de goût. »
« Ça n'a pas de sens...comment on pourrait entendre l'océan alors qu'on est dans les égouts de la ville ?! »
« Quelle importance s'il appelle les gardes ? Un petit village comme celui-ci ne peut pas avoir une bien grande milice. »
« Des diamants, des rubis, de l'or !!! Terry ! Terry on est riches ! On est riches !!! Terry ? ... Terry ??... »
« Non mais vous avez vu ce qui reste de ce gars ?! Je me demande ce qui a bien pu lui faire ca ? »
« Le truc quand on est face à un minotaure en train de charger c'est de se tenir parfaitement immobile. »
« J'ai lu dans un grimoire qu'on pouvait manger du troll en cas de famine »
« Mais non ça peut pas être un vampire, il a un reflet dans le miroir ! »
« Celui qui a fait ca doit être loin maintenant. »
« Alors c'est ça un ours ? »
« T'en fais pas ! J'ai déjà un plan ! »
« Ça peut pas louper, c'est du tout cuit. »
« On va procéder selon un plan rigoureux et organisé »
« C'était peut être pas une si bonne idée...»
« Je crois qu'elle dort. »
« Regardez moi la taille de ces empreintes ! »
« La glace m'a l'air bien solide, amenez vous ! »
« Meuh nan, le tavernier ne dira rien si je drague sa fille »
« C'est bon, il a l'air cool, je lui fais confiance... »
« Ils ne peuvent pas me voir. Cette potion rend invisible ! »
« Séparons nous, nous couvrirons plus de terrain... »
« Ça doit être le vent... »
« Fais attention où tu pointes ton arbalète ! Ça peut partir vite ces...»
« Tirez pas, c'est moi. »
« C'est marrant cette marque de naissance sur ton bras, on dirait le nombre 999... »
« Tu aurais pu me le dire plus tôt qu'un pentagramme n'avait que 5 branches !! »
« Quelqu'un a un briquet ? »
« Comment ça se fait que la flamme de ta torche soit devenue bleue ? »
« Bon faut qu'on avance un peu maintenant ! Je baisse le levier »
« Faudrait vraiment être stupide pour piéger un truc comme ça ! »
« Je n'ai trouvé aucun piège ! »
« Des nappes de brouillard ? Sur cette route ?! Me fais pas rigo... »
« Pourquoi cet homme parle-t-il par signes ? »
« Restez en retrait. Je vais le tuer ! »
« Et bien pour cela il te faudra me passer sur le corps avant... »
« Laissez moi m'en occuper. »
« Rendez-vous et on vous épargnera peut être ! »
« Il était facile à tuer celui là. »
« Il n'oserais pas recommencer ?! »
« Il faut que je me défoule sur quelque chose. »
« Personne n'a à me dire ce que je dois faire ! »
« Encore toi ! Attends un peu cette fois tu m'échapperas pas ! »
« Laisse, j'ai plus de force que toi »
« Moi d'abord ! Moi d'abord ! »
« Non ! C'est moi qui l'ai trouvé, c'est moi qui le garde ! »
« Je me demande ce qu'il y a la dedans ? »
« Ça a l'air facile. »
« J'ai un très mauvais pressentiment. »
« Ca y est on est sortis ! On est sauvés ! »
« J'enfonce la porte ! »
« Tiens moi cette corde pendant que je descends. »
« hum, ca sent le gaz... bah, c'est probablement une odeur résiduelle »
« Je commence à m'ennuyer... »
« Mais pourtant il a dit qu'il était l'un des nôtres ! »
« Je vais ouvrir la porte et voir qui ça peut être. »
« Sincèrement j'ignorais que c'était à l'encontre de la loi. »
« Je comprends pas en principe il devrait être mort. »
« Si on a l'air courageux et déterminé, ils n'attaqueront pas ! »
« Attrapons le ! »
« Je veux mon argent ! »
« Ecoute mon gars, on le fait à ma manière ou je devrais te tuer. »
« Ça t'as pas suffit ? »
« Je veux ma revanche ! »
« Même un gosse pourrait le faire. »
« Damned, je savais bien que j'oubliais quelque chose. »
« Ils ne s'attendront jamais à ca. »
« Peur ? Nous ? On est 6 et il est seul ! Chaaaarrgez... »
« Il n'en reste plus que deux. »
« Il est évident que vous savez pas à qui vous parlez.»
« Je suis sur que personne ne m'a vu. »
« T'es un homme mort, tu m'entends, un homme mort ! »
« Je m'en fous du gardien, moi je suis venu chercher le mithril ! »
« Je sais reconnaître une illusion quand j'en voie une ! »
« Regardez bien, je vais tenter un coup d'éclat ! »
Si mon Stéphane meurt, ses dernières paroles auront été : « Vous allez où ? Il vaut mieux rester sur le Chemin.»